Original:
Der Mathematiker und Philosoph Blaise Pascal (1623-1662) stellt den jüdisch-christlichen Gott dem „Gott der Philosophen“ gegenüber
L'an de grâce 1654, Lundi 23 novembre [...].Depuis environ dix heures et demie du soir jusqu'à environ minuit et demie.FEU
Dieu d'Abraham, Dieu d'Isaac, Dieu de Jacob, non des philosophes et des savants. Certitude. Certitude. Sentiment, Joie, Paix. Dieu de Jésus-Christ,
Deum meum et Deum vestrum. Jean 20/17 [...]. Oubli du monde et de tout, hormis Dieu. Il ne se trouve que par les voies enseignées dans l'Evangile. Grandeur de l'âme humaine
„Père juste, le monde ne t'apoint connu, mais je t'ai connu“. [...]. Je m’en suis séparé.
Dereliquerunt me fontem aquae vivae.
„Mon Dieu me quitterez-vous?“que je n'en sois passé paré éternellement.
„Cetteest la vie éternelle, qu'ils te connaissent seul vrai Dieu, et celuique tu as envoyé,. Jésus-Christ“. [...].Je m'en suis séparé ;
je l'ai fui, renoncé, crucifié, Jean 17. Que je n’en sois jamais séparé.Il ne se conserve que par les voies enseignées dans l‘Evangile. Renonciation totale et douce. Soumission totale et douce. [...]. Amen.
Quelle:
Pascal, Blaise:
Mémorial
N.N.
Edition: N.N.
Auslegung:
Pascal drückt v.a. seine persönliche Gottebeziehung aus sowie dagegen Angst, diese durch eine zu philosophische, zu rationalistische Sicht auf Gott zu verlieren.
(M.P.)
Themen: